Publié le 10/11/2022 21:08:52
L’influent ex-patron de l’Institut Montaigne a mis en avant son addiction à la cocaïne pour expliquer comment il a pu droguer une collaboratrice chez lui en février. Dix-huit mois avec sursis et une injonction de soins ont été requis contre lui ce jeudi.
Il se décrit en homme brisé, pris dans une spirale infernale – celle de la drogue. Se dépeint en repenti, soulagé de son arrestation. Lui qui avait tellement besoin qu’on l’écoute… À la barre du tribunal correctionnel de Paris qui le juge, ce jeudi 10 novembre, pour avoir drogué à son insu une collaboratrice qui était aussi son ex-belle-sœur, Laurent Bigorgne, complet anthracite sur fin col roulé marine, livre un numéro d’équilibriste, entre contrition et justification alambiquée, sur cette soirée du 22 février 2022 qui a provoqué sa chute.
Crédits image et texte : Le Parisien©
Source : https://www.leparisien.fr/faits-divers/proces-de-laurent-bigorgne-je-naurais-jamais-touche-sophie-jamais-10-11-2022-FIUI7IU2WFGADJ6CGYKCHKSQUA.php