

Publié le 09/04/2023 18:26:02
Si le drame de la rue de Tivoli, où un immeuble s’est effondré dimanche, n’a rien à voir avec celui de la rue d’Aubagne, il rappelle le traumatisme de 2018. L’édito de Marie-Christine Tabet, directrice adjointe des rédactions du Parisien - Aujourd’hui en France.
Le drame de la rue de Tivoli n’a rien à voir avec celui de la rue d’Aubagne en 2018. Nous sommes à Marseille où les frontières urbaines sont invisibles, et même si les deux voies ne sont éloignées que d’une centaine de mètres, elles ne se ressemblent guère. La première, en cours de gentrification, attire des habitants de plus en plus jeunes, branchés, souvent nouvellement arrivés dans la cité, la seconde abrite une population beaucoup plus populaire et cosmopolite.
Crédits image et texte : Le Parisien©
Source : https://www.leparisien.fr/faits-divers/memoire-douloureuse-a-marseille-09-04-2023-GPMTQZ2AERB5NBB7XNYIGKDEDU.php